Investiture ce jeudi des Inspecteurs généraux de l'Education nationale par le Ministre DORSONNE.
L'Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la formation professionnelle (IGAENF) est une nouvelle structure du MENFP appelée à jouer un rôle clé dans la gouvernance du secteur de l'éducation.
Suivant l'arrêté ministériel, signé du Ministre DORSONNE par délégation du Premier Ministre pour la mise en place de l'IGAENF, les inspecteurs généraux sont nommés pour six ans et sont inamovibles.
Les cinq Inspecteurs généraux (IG) sont répartis en groupes permanents et spécialisés : Enseignement et évaluation ; Appui aux établissement scolaires, Administration managériale du système educatif ; Administration et gestion financière ; Gestion des ressources humaines et matérielles.
Les cinq Inspecteurs généraux investis : Louis Délima Chéry (IG à l'administration), Gustave Joseph ( IG aux encadrements des établissements scolaires), Booz Philippe Pierre (IG gestion ressources humaines et matérielles) ; Pléteau Jackson (IG Enseignement) ; Alliance Carole ( IG gestion financière).
Le Ministre DORSONNE se réjouit de la mise en oeuvre de cette initiative à laquelle plusieurs de ces prédécesseurs ont contribué pour l'avancement de la réforme éducative.
Le Ministre a rappelé le mandat de L'IGAENF qui doit, entre autres, assurer la veille stratégique du fonctionnement du système educatif et vérifier la conformité des actions des différents acteurs aux normes prescrites...
Le titulaire du MENFP a invité les IG à se mettre au travail car de nombreux défis les attendent. ...
Bureau du MENFP
jeudi 5 janvier 2017
Le paiement des frais scolaires sera désormais contrôlé par l’Etat
Il aura fallu attendre 8 longues années pour que la loi sur la régularisation des frais scolaires, votée par les deux branches du parlement, soit promulguée par un président provisoire.
Dans son tout premier numéro de l’année 2017, paru le mardi 3 janvier, le Journal Officiel de la République "Le Moniteur" publie un ensemble d’actes légaux et officiels. L’un d’eux : la loi sur la régularisation des frais scolaires.
Porté par l’ancien sénateur Kelly Bastien, ce texte de loi entend s’attaquer à un problème assez préoccupant : l’augmentation considérable des frais scolaires d’année en année par les responsables des écoles privées aussi bien que publiques, au grand dam des parents, malgré la hausse du coût de la vie.
L’article 1er de la loi stipule que « tous les frais de scolarité sont payés en monnaie nationale, hormis des établissements scolaires internationaux dont le fonctionnement et le programme ne s’articulent pas avec le programme scolaire national ». Les modalités de paiement et d’augmentation des frais scolaires sont clairement indiquées aux articles 3.1 et 4 : « 50 % à la rentrée, 25 % au début du deuxième trimestre et 25 % au début du troisième trimestre. Et l’augmentation des frais scolaires ne peut être envisagée que tous les quatre ans. Dans tous les cas, elle ne pourra pas dépasser 10 %».
Par ailleurs, elle interdit les frais de confirmation ou de réinscription, les frais pour les cérémonies de graduation du kindergarten souvent exigés par certains responsables d’écoles. Elle prend aussi des dispositions pour la dispensation des cours particuliers par des professeurs ainsi que la vente de tissus pour l’uniforme.
Ce texte est voté au Sénat de la République le 10 septembre 2009 et à la Chambre des Députés le 13 septembre de la même année. Il a été depuis lors abandonné dans les tiroirs du palais national pendant 8 ans, pour des raisons que l’opinion publique ignore, traversant les mandats des présidents René Préval et Michel Martelly. Sa promulgation cette année par le président Jocelerme Privert provoque un cri de soulagement les parents. La balle est désormais dans le camp du ministère de l’éducation nationale pour veiller à mise en application.
Source:aura fallu attendre 8 longues années pour que la loi sur la régularisation des frais scolaires, votée par les deux branches du parlement, soit promulguée par un président provisoire.
Dans son tout premier numéro de l’année 2017, paru le mardi 3 janvier, le Journal Officiel de la République "Le Moniteur" publie un ensemble d’actes légaux et officiels. L’un d’eux : la loi sur la régularisation des frais scolaires.
Porté par l’ancien sénateur Kelly Bastien, ce texte de loi entend s’attaquer à un problème assez préoccupant : l’augmentation considérable des frais scolaires d’année en année par les responsables des écoles privées aussi bien que publiques, au grand dam des parents, malgré la hausse du coût de la vie.
L’article 1er de la loi stipule que « tous les frais de scolarité sont payés en monnaie nationale, hormis des établissements scolaires internationaux dont le fonctionnement et le programme ne s’articulent pas avec le programme scolaire national ». Les modalités de paiement et d’augmentation des frais scolaires sont clairement indiquées aux articles 3.1 et 4 : « 50 % à la rentrée, 25 % au début du deuxième trimestre et 25 % au début du troisième trimestre. Et l’augmentation des frais scolaires ne peut être envisagée que tous les quatre ans. Dans tous les cas, elle ne pourra pas dépasser 10 %».
Par ailleurs, elle interdit les frais de confirmation ou de réinscription, les frais pour les cérémonies de graduation du kindergarten souvent exigés par certains responsables d’écoles. Elle prend aussi des dispositions pour la dispensation des cours particuliers par des professeurs ainsi que la vente de tissus pour l’uniforme.
Ce texte est voté au Sénat de la République le 10 septembre 2009 et à la Chambre des Députés le 13 septembre de la même année. Il a été depuis lors abandonné dans les tiroirs du palais national pendant 8 ans, pour des raisons que l’opinion publique ignore, traversant les mandats des présidents René Préval et Michel Martelly. Sa promulgation cette année par le président Jocelerme Privert provoque un cri de soulagement les parents. La balle est désormais dans le camp du ministère de l’éducation nationale pour veiller à mise en application.
Source:
http://www.loophaiti.com/content/le-paiement-des-frais-scolaires-sera-d%C3%A9sormais-contr%C3%B4l%C3%A9-par-l%E2%80%99etat
Dans son tout premier numéro de l’année 2017, paru le mardi 3 janvier, le Journal Officiel de la République "Le Moniteur" publie un ensemble d’actes légaux et officiels. L’un d’eux : la loi sur la régularisation des frais scolaires.
Porté par l’ancien sénateur Kelly Bastien, ce texte de loi entend s’attaquer à un problème assez préoccupant : l’augmentation considérable des frais scolaires d’année en année par les responsables des écoles privées aussi bien que publiques, au grand dam des parents, malgré la hausse du coût de la vie.
L’article 1er de la loi stipule que « tous les frais de scolarité sont payés en monnaie nationale, hormis des établissements scolaires internationaux dont le fonctionnement et le programme ne s’articulent pas avec le programme scolaire national ». Les modalités de paiement et d’augmentation des frais scolaires sont clairement indiquées aux articles 3.1 et 4 : « 50 % à la rentrée, 25 % au début du deuxième trimestre et 25 % au début du troisième trimestre. Et l’augmentation des frais scolaires ne peut être envisagée que tous les quatre ans. Dans tous les cas, elle ne pourra pas dépasser 10 %».
Par ailleurs, elle interdit les frais de confirmation ou de réinscription, les frais pour les cérémonies de graduation du kindergarten souvent exigés par certains responsables d’écoles. Elle prend aussi des dispositions pour la dispensation des cours particuliers par des professeurs ainsi que la vente de tissus pour l’uniforme.
Ce texte est voté au Sénat de la République le 10 septembre 2009 et à la Chambre des Députés le 13 septembre de la même année. Il a été depuis lors abandonné dans les tiroirs du palais national pendant 8 ans, pour des raisons que l’opinion publique ignore, traversant les mandats des présidents René Préval et Michel Martelly. Sa promulgation cette année par le président Jocelerme Privert provoque un cri de soulagement les parents. La balle est désormais dans le camp du ministère de l’éducation nationale pour veiller à mise en application.
Source:aura fallu attendre 8 longues années pour que la loi sur la régularisation des frais scolaires, votée par les deux branches du parlement, soit promulguée par un président provisoire.
Dans son tout premier numéro de l’année 2017, paru le mardi 3 janvier, le Journal Officiel de la République "Le Moniteur" publie un ensemble d’actes légaux et officiels. L’un d’eux : la loi sur la régularisation des frais scolaires.
Porté par l’ancien sénateur Kelly Bastien, ce texte de loi entend s’attaquer à un problème assez préoccupant : l’augmentation considérable des frais scolaires d’année en année par les responsables des écoles privées aussi bien que publiques, au grand dam des parents, malgré la hausse du coût de la vie.
L’article 1er de la loi stipule que « tous les frais de scolarité sont payés en monnaie nationale, hormis des établissements scolaires internationaux dont le fonctionnement et le programme ne s’articulent pas avec le programme scolaire national ». Les modalités de paiement et d’augmentation des frais scolaires sont clairement indiquées aux articles 3.1 et 4 : « 50 % à la rentrée, 25 % au début du deuxième trimestre et 25 % au début du troisième trimestre. Et l’augmentation des frais scolaires ne peut être envisagée que tous les quatre ans. Dans tous les cas, elle ne pourra pas dépasser 10 %».
Par ailleurs, elle interdit les frais de confirmation ou de réinscription, les frais pour les cérémonies de graduation du kindergarten souvent exigés par certains responsables d’écoles. Elle prend aussi des dispositions pour la dispensation des cours particuliers par des professeurs ainsi que la vente de tissus pour l’uniforme.
Ce texte est voté au Sénat de la République le 10 septembre 2009 et à la Chambre des Députés le 13 septembre de la même année. Il a été depuis lors abandonné dans les tiroirs du palais national pendant 8 ans, pour des raisons que l’opinion publique ignore, traversant les mandats des présidents René Préval et Michel Martelly. Sa promulgation cette année par le président Jocelerme Privert provoque un cri de soulagement les parents. La balle est désormais dans le camp du ministère de l’éducation nationale pour veiller à mise en application.
Source:
http://www.loophaiti.com/content/le-paiement-des-frais-scolaires-sera-d%C3%A9sormais-contr%C3%B4l%C3%A9-par-l%E2%80%99etat
La plume qui dessine
Cinquième texte
Nous avons tous connu ce moment où le chagrin envahit notre coeur à cause d'une absence ou d'un regret. La personne aimée nous manque tellement que le monde semble ne pas exister. C'est une folie ou la manifestation de la passion.
Voilà en peu de mots ce que l'amour peut accomplir. Des miracles désagréables.
La solitude est un moment de silence. Un silence où les tendres souvenirs font la guerre à l'âme. Sans pitié. Le sourire n'existe pas puisque les nerfs sont déconnectés. Le plus grand bruit est un soupir. Dans nos regards, on dirait un enfant qui cherche sa maman aux quatre coins du quartier.
Nous avons tous été au moins une fois rejetés, mal compris, critiqués, accusés à tort et condamnés au tribunal du caprice. Souffrant de tous les malaises de cet univers parsemé d'injustices morales, nous avons tenté en vain de nous défendre. Hélas, même étant jugé innocent, nous sommes toujours coupables.
Ce sentiment qui nous domine, nous dirige, nous contrôle, nous gagne, nous emprisonne, nous réduit à un minable dans ce coin où le vent nous ramène les belles saisons des bonnes aventures.
Ce dessin est posé sur une toile déchirée, exposée loin de ce coeur criminel qui se réjouit de notre douleur infernale. Décor. Spectacle. Epilogue d'une histoire sans personnages.
JDE, le peintre des mots!
Cinquième texte
Nous avons tous connu ce moment où le chagrin envahit notre coeur à cause d'une absence ou d'un regret. La personne aimée nous manque tellement que le monde semble ne pas exister. C'est une folie ou la manifestation de la passion.
Voilà en peu de mots ce que l'amour peut accomplir. Des miracles désagréables.
La solitude est un moment de silence. Un silence où les tendres souvenirs font la guerre à l'âme. Sans pitié. Le sourire n'existe pas puisque les nerfs sont déconnectés. Le plus grand bruit est un soupir. Dans nos regards, on dirait un enfant qui cherche sa maman aux quatre coins du quartier.
Nous avons tous été au moins une fois rejetés, mal compris, critiqués, accusés à tort et condamnés au tribunal du caprice. Souffrant de tous les malaises de cet univers parsemé d'injustices morales, nous avons tenté en vain de nous défendre. Hélas, même étant jugé innocent, nous sommes toujours coupables.
Ce sentiment qui nous domine, nous dirige, nous contrôle, nous gagne, nous emprisonne, nous réduit à un minable dans ce coin où le vent nous ramène les belles saisons des bonnes aventures.
Ce dessin est posé sur une toile déchirée, exposée loin de ce coeur criminel qui se réjouit de notre douleur infernale. Décor. Spectacle. Epilogue d'une histoire sans personnages.
JDE, le peintre des mots!
Vos excuses et leurs excuses
Les excuses existent dans les deux camps. Si les personnes que nous évangélisons s'excusent pour ne pas se convertir au christianisme, les chrétiens s'excusent aussi pour ne pas évangéliser.
Dieu est Tout-Puissant. Rien ne lui est impossible. C'est une vérité qui est acceptée par les païens et par les chrétiens. Pourtant, dans la pratique, ils sont confus.
Qu'est-ce qui vous empêche de devenir chrétien? Je vis dans le concubinage. Si je me repens, mon partenaire me quittera et mes enfants ne pourront plus aller à l'école. C'est réel mais Dieu peut résoudre ce problème! Oui, je sais mais je dois réfléchir.
Qu'est-ce qui vous empêche d'évangéliser? Je n'ai pas assez de temps à cause du travail. En plus, je suis trop timide. D'accord, mais d'après 2 Timothée 1.7, un chrétien ne peut pas être timide. Oui, je sais mais je ne peux pas.
Imaginez vous, un chrétien, et un païen au jour du jugement. Vous êtes tous deux accusés d'excuses. Quel sera le verdict du juge? Vous êtes tous coupables.
Un pauvre a volé 5 gourdes et un riche 5 millions gourdes. Ne sont-ils pas tous deux des voleurs? Il est possible qu'ils ne subissent pas la même peine mais devant la loi, ils sont tous coupables.
Moi, je n'ai plus d'excuses. J'ai donné ma vie à Jésus, mon Sauveur et Maître et j'obéis à son ordre dans la moisson (Marc 16.15). Je n'ai pas honte d'annoncer la Bonne nouvelle(Romains 1.16).
Et vous?
En attendant votre réponse, je vous souhaite une agréable journée.
Jérôme Dorsonne Emerson
05/01/2016
Dieu est Tout-Puissant. Rien ne lui est impossible. C'est une vérité qui est acceptée par les païens et par les chrétiens. Pourtant, dans la pratique, ils sont confus.
Qu'est-ce qui vous empêche de devenir chrétien? Je vis dans le concubinage. Si je me repens, mon partenaire me quittera et mes enfants ne pourront plus aller à l'école. C'est réel mais Dieu peut résoudre ce problème! Oui, je sais mais je dois réfléchir.
Qu'est-ce qui vous empêche d'évangéliser? Je n'ai pas assez de temps à cause du travail. En plus, je suis trop timide. D'accord, mais d'après 2 Timothée 1.7, un chrétien ne peut pas être timide. Oui, je sais mais je ne peux pas.
Imaginez vous, un chrétien, et un païen au jour du jugement. Vous êtes tous deux accusés d'excuses. Quel sera le verdict du juge? Vous êtes tous coupables.
Un pauvre a volé 5 gourdes et un riche 5 millions gourdes. Ne sont-ils pas tous deux des voleurs? Il est possible qu'ils ne subissent pas la même peine mais devant la loi, ils sont tous coupables.
Moi, je n'ai plus d'excuses. J'ai donné ma vie à Jésus, mon Sauveur et Maître et j'obéis à son ordre dans la moisson (Marc 16.15). Je n'ai pas honte d'annoncer la Bonne nouvelle(Romains 1.16).
Et vous?
En attendant votre réponse, je vous souhaite une agréable journée.
Jérôme Dorsonne Emerson
05/01/2016
Y aura-t-il vraiment un enfer après la mort?
Le doute pour ceux qui y croient en Dieu mais qui ne sont pas convaincus des arguments avancés pour établir la vérité.
La conviction pour ceux qui y croient fermement et qui mènent une vie conforme à la volonté de Dieu.
La résignation pour ceux qui y croient mais qui ne s'ennuient pas d'y être après la mort.
Et l'hypocrisie pour ceux qui y croient et qui ne sont pas conscients de leur négligence et de leur paresse.
La vraie preuve de croyance ne se base pas sur la connaissance. Si c'était le cas, les démons seraient sauvés car la Bible dit: Tu crois qu`il y a un seul Dieu, tu fais bien; les démons le croient aussi, et ils tremblent. Veux-tu savoir, ô homme vain, que la foi sans les oeuvres est inutile? ( Jacques, 2:19-20)
Croire en l'existence de l'enfer et mener en même temps une vie de débauche est une belle hypocrisie. Ce n'est qu'un moyen d'apaiser sa conscience dans l'esprit que Dieu comprendra.
L'apôtre Paul a fait ce rappel aux chrétiens de Corinthe concernant le royaume de Dieu: "Ne savez-vous pas que les injustes n`hériteront point le royaume de Dieu? Ne vous y trompez pas: ni les impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n`hériteront le royaume de Dieu."(1 Corinthiens 6.9-10)
Ne pas hériter le royaume de Dieu évoque l'existence durant ce royaume. Donc, certainement, ces pécheurs seront vivants après la mort mais ils ne seront pas dans le royaume. Maintenant, celui qui veut éviter l'enfer ne se contentera pas de prêcher cette vérité et de dire qu'il y croit. Il doit éviter les péchés qui mènent en enfer. Sinon, cela ne lui servira à rien.
Nous pouvons considérer un autre exemple avec le fruit de l'Esprit et les oeuvres de la chair.
Je prends toujours le temps d'écouter les prédicateurs qui sont très motivés à déclarer de toute leur force que ceux qui pratiquent les oeuvres charnelles ne seront pas sauvées. Ceux qui écoutent crient "amen". Ont-ils raison? Oui puisque la Bible le confirme:
"Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l`impudicité, l`impureté, la dissolution, Galates, 5:20 - l`idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes, Galates, 5:21 - l`envie, l`ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d`avance, comme je l`ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n`hériteront point le royaume de Dieu."(Galates 5.19-21)
Examinons l'adjectif "manifeste": qui ne peut être mis en doute ni contesté. Synonymes: évident, indiscutable, reconnu de tous.
Donc, nous sommes en mesure de connaïtre ceux qui vont en enfer grâce aux péchés manifestes, tels que les oeuvres charnnelles. Face à une telle réalité, il ne suffit pas de dire que l'enfer existe, il faut éviter ce qui peut y conduire. Sinon, c'est l'hypocrisie, la résignation ou un suicide.
Quand je pose la question "Y aura-t-il vraiment un enfer après la mort", je m'adresse à ceux qui y croient et qui le prêchent mais qui sont malheureusement sur son chemin. C'est une perte de temps d'aller à l'église, de jouer un rôle et d'être connu chrétien dans votre quartier alors qu'après la mort, vous irez en enfer.
Cela m'attriste de voir des chrétiens qui sont en train de jouer avec leur foi. Ils ne prennent pas Dieu au sérieux. Ils sont des moqueurs déguisés en chrétiens. La Bible dit:
Ne vous y trompez pas: on ne se moque pas de Dieu. Ce qu`un homme aura semé, il le moissonnera aussi. (Galates 6.7)
C'est une grave erreur d'avoir l'espérance de vivre dans le Royaume de Dieu pendant que vous vivez dans le péché. L'Evangile serait une institution établie par Dieu en Jésus-Christ pour amener des âmes en enfer. Incroyable!
Croyez-vous vraiment en l'existence de l'enfer après la mort? Si oui, gardez-vous des oeuvres charnelles citées en Galates 5.19-21. Sinon, arrêtez votre hypocrisie!
Jérôme Dorsonne Emerson
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